Webzine Défis Nature #1

15e Anniversaire de Défis Nature

JOYEUX ANNIVERSAIRE DÉFIS NATURE !

Il y a quelques mois de cela, nous t’avions demandé de nous communiquer tes trois animaux préférés. A la suite de ce sondage, 35 animaux ont été retenus pour développer le jeu Défis Nature spécial 15e anniversaire.

Dans ce jeu, tu vas trouver une nouvelle carte spéciale appelée carte Protect’. Il y en a 6 au total : le lion d’Afrique, l’éléphant d’Afrique, la tortue caouanne, le faucon crécerellette, le gorille des plaines de l’Ouest et la girafe réticulée. Dans le jeu, ces cartes permettent de sauver un animal que tu as perdu pendant une bataille. Mais pas que…!

Six associations qui œuvrent pour la préservation de ces espèces sont soutenues financièrement par la Fondation Bioviva pour mener des actions d’éducation et de sensibilisation. Informations que nous partageons avec toi sur la page Protect’.

Découvre les 36 animaux préférés des fans du Club dans ce nouveau Défis Nature !

Découvre les 36 animaux préférés des fans du Club dans ce nouveau Défis Nature !


À LA DÉCOUVERTE DES ANIMAUX INSPIRANTS

Pour réduire l’impact des activités humaines sur l’environnement, les Hommes s’inspirent de la nature pour innover et proposer des solutions répondant aux défis écologiques auxquels nous allons devoir faire face. C’est ce que l’on appelle le biomimétisme. Ces innovations concernent divers secteurs tels que la construction, le transport ou encore l’agriculture. Découvre ci-dessous quelques exemples d’animaux qui ont inspiré des innovations !

Le papillon Morpho (énergies)

Avec ses ailes d’un bleu brillant, le morpho ne passe pas inaperçu. Au-delà d’être magnifiques, ses grandes ailes recouvertes de petites écailles ne cessent de nous surprendre. En plus de lui permettre de réguler sa température, elles sont à la fois autonettoyantes et impossibles à mouiller ! On se doute que les chercheurs n’ont pas laissé passer ça ! En effet, ils se sont beaucoup inspirés de leur structure pour développer ou améliorer toutes sortes de matériaux afin de les rendre plus efficaces et plus écologiques.

Les termites utiles

Vous cherchez les pros du ventilo ? Pas de doute, c’est chez les termites qu’il faut sonner ! Grâce à la compréhension du fonctionnement de leur termitière, on a pu bâtir des immeubles dans des régions très chaudes sans avoir à les équiper de climatiseurs. Le système permet donc de stocker la chaleur en journée, puis de la libérer la nuit lorsqu’il fait frais. Ainsi, l’air est toujours maintenu à la même température malgré les variations des températures externes. Les économies d’énergie sont telles que les loyers sont moins chers. Merci les termites !

Le gecko tokay (matériaux)

Serait-il le nouveau Spider-Man ? Alors que les araignées ne peuvent pas avancer sur une surface aussi lisse que le verre, le gecko, lui, n’a pas de limite ! Qu’il soit sur une surface très lisse ou au plafond la tête en bas, rien ne perturbe ce roi de la grimpe. Pour ce faire, il n’a nul besoin de produits adhésifs grâce à ses doigts recouverts de poils de soie. Pour avancer, il fait un mouvement de côté avec sa patte lui permettant de la décrocher pour la refixer plus loin. Pas de doute, tout est sous contrôle.

Découvre 36 animaux inspirants dans ce nouveau Défis Nature !

NATURE EN JEUX

Trouve l’animal qui a inspiré ces inventions parmi les trois propositions données.

Eclairage écologique sans électricité
Système de vol économe
Vernis protecteur pour panneaux solaires
Trouve l’animal qui a inspiré ces inventions parmi les trois propositions données.
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Selon toi, quel animal a la longévité la plus élevée ?

Le moloch hérissé
Le corail tabulaire
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L’INTERVIEW DE LA SPÉCIALISTE

Le jeu de cartes Défis Nature Animaux inspirants a été produit en collaboration avec l’ADEME, l’agence de la transition écologique. Iman Bahmani-Piaseczny, coordinatrice du pôle recherche à l’ADEME se prête au jeu des questions – réponses pour nous en apprendre davantage sur le biomimétisme.

Qui êtes-vous et quel est votre métier ?

Issu d’un doctorat international en sciences agronomiques, j’ai démarré ma carrière en tant que chercheur à la Dairying Research Corporation en Nouvelle Zélande, puis à l’INRAE en écophysiologie des plantes. J’ai intégré l’ADEME en tant que responsable agriculture en 2002, puis j’ai évolué en tant que coordinatrice de pôle en économie circulaire tout en diversifiant mes champs de compétences (Energie renouvelable, écoconception, bioéconomie, efficacité énergétique dans l’industrie et l’agriculture, gestion des déchets, bâtiment…). Passionné de plongée sous-marine depuis 30 ans, je me suis intéressée très tôt à la biodiversité marine et au biomimétisme sous l’angle de l’innovation. Aujourd’hui j’occupe à l’ADEME le poste d’expert national sur le biomimétisme ainsi que le poste de coordinatrice du pôle transversal en recherche et innovation à la direction régionale des Hauts de France de l’ADEME. 

Comment déterminez-vous qu’une invention relève du biomimétisme ou non ?

Une invention relève du biomimétisme lorsqu’elle est bio inspirée d’un modèle du vivant, pour lequel on reproduit une fonction, un design ou encore une stratégie de résilience à face à un ou des éléments perturbateurs, tout en réduisant les impacts environnementaux du produit, process ou service innovant. Le biomimétisme est une forme d’innovation bio inspirée écoconçue.

Quelles sont les inventions biomimétiques phares qui sont utilisées au quotidien ?

Le scratch que l’on connait également sous le nom de « VELCRO » (VEL pour velour et CRO pour crochet), première colle sèche biologique bioinpirée des fleurs de bardane a vu le jour dans les années 40. En effet, les fleurs de bardane s’accrochent à certaines surfaces à l’aide de minuscules structures en forme de crochets, pour créer un système de fixation auto-agrippante. D’autres innovations telles que les biocontrôles développés par la société M2i Life Science, s’inspirent de mécanisme de communication des insectes pour provoquer une confusion sexuelle qui fait que le male ne trouve jamais la femelle. Cela est possible en reproduisant à l’identique les phéromones des insectes et en les dispersant de façon homogène et importante sur la parcelle agricole concernée. Tout dernièrement, il a été montré que l’hémoglobine de l’arénicole peut transporter 150 molécules d’02, contre 4 molécules d’02 pour l’hémoglobine humaine. Ce petit ver marin a permis à la société Hemaria d’innover en utilisant ces molécules pour une meilleure conservation des greffons mais également pour augmenter la vitesse de cicatrisation de blessures ou encore réoxygéner le cerveau en cas d’AVC. Ces découvertes ont été brevetées. Il existe bien d’autres innovations biomimétiques à découvrir tant la biodiversité est vaste et diversifiée.  Plusieurs exemples sont cités dans le défi nature « les animaux ingénieux ». 

Le biomimétisme prend-il plus de place chaque année ?

Le biomimétisme gagne du terrain chaque année auprès d’un grand nombre d’acteurs de la recherche et d’acteurs économiques, mais il est loin d’être à son plein essor. Contrairement, à nos pays voisins comme l’Allemagne et la Suisse, qui ont fait du biomimétisme une véritable stratégie de développement économique pour faire face aux enjeux d’aujourd’hui et de demain, notamment au travers de la création d’institut dédié, la France n’a pas franchi ce cap. Le CEEBIOS (Centre Européen d’Excellence sur le Biomimétisme à Senlis) anime un réseau d’acteurs important sur le biomimétisme et déploie une énergie incroyable pour introduire le biomimétisme dans les formations d’enseignement supérieures, tout en accompagnant les territoires à intégrer le biomiméstime dans leur stratégie. Il développe également un grand nombre d’outils pour l’accompagnement des acteurs économiques (exemple de la plate-forme BIOMIG). Bien que les moyens qui lui sont alloués ne sont pas à la hauteur des enjeux, le CEEBIOS continue d’embarquer un maximum d’acteurs (économiques, recherche et territoires) dans la voie du biomimétisme.

Quelle est, parmi les espèces qui ont inspiré une invention biomimétique, votre préférée. Pourquoi ?

Le papillon morpho est de loin l’espèce qui me fascine le plus. En effet, le papillon morpho a la capacité de s’autoréguler quand les températures sont très élevées (>40°C). Elle doit cette stratégie d’adaptation à la production de chitine qui lui confère cette capacité de thermorégulation ainsi que ses écailles. Lorsqu’il a besoin de se refroidir dans les températures supérieures à 40°C, les ailes émettent des rayonnements dans l’infra-rouge ; lorsqu’il revient dans des températures qu’il supporte mieux, ses ailes redeviennent absorbantes et la température de son corps remonte. Les caractéristiques du papillon morpho pourront aider à relever le défi des panneaux solaires thermiques et photovoltaïques qui résistent mal à la chaleur et dont la production d’énergie peut être altérée. 

L’INTERVIEW DE LA SPÉCIALISTE

Le jeu de cartes Défis Nature Animaux inspirants a été produit en collaboration avec l’ADEME, l’agence de la transition écologique. Iman Bahmani-Piaseczny, coordinatrice du pôle recherche à l’ADEME se prête au jeu des questions – réponses pour nous en apprendre davantage sur le biomimétisme.

Qui êtes-vous et quel est votre métier ?

Issu d’un doctorat international en sciences agronomiques, j’ai démarré ma carrière en tant que chercheur à la Dairying Research Corporation en Nouvelle Zélande, puis à l’INRAE en écophysiologie des plantes. J’ai intégré l’ADEME en tant que responsable agriculture en 2002, puis j’ai évolué en tant que coordinatrice de pôle en économie circulaire tout en diversifiant mes champs de compétences (Energie renouvelable, écoconception, bioéconomie, efficacité énergétique dans l’industrie et l’agriculture, gestion des déchets, bâtiment…). Passionné de plongée sous-marine depuis 30 ans, je me suis intéressée très tôt à la biodiversité marine et au biomimétisme sous l’angle de l’innovation. Aujourd’hui j’occupe à l’ADEME le poste d’expert national sur le biomimétisme ainsi que le poste de coordinatrice du pôle transversal en recherche et innovation à la direction régionale des Hauts de France de l’ADEME. 

Comment déterminez-vous qu’une invention relève du biomimétisme ou non ?

Une invention relève du biomimétisme lorsqu’elle est bio inspirée d’un modèle du vivant, pour lequel on reproduit une fonction, un design ou encore une stratégie de résilience à face à un ou des éléments perturbateurs, tout en réduisant les impacts environnementaux du produit, process ou service innovant. Le biomimétisme est une forme d’innovation bio inspirée écoconçue.

Quelles sont les inventions biomimétiques phares qui sont utilisées au quotidien ?

Le scratch que l’on connait également sous le nom de « VELCRO » (VEL pour velour et CRO pour crochet), première colle sèche biologique bioinpirée des fleurs de bardane a vu le jour dans les années 40. En effet, les fleurs de bardane s’accrochent à certaines surfaces à l’aide de minuscules structures en forme de crochets, pour créer un système de fixation auto-agrippante. D’autres innovations telles que les biocontrôles développés par la société M2i Life Science, s’inspirent de mécanisme de communication des insectes pour provoquer une confusion sexuelle qui fait que le male ne trouve jamais la femelle. Cela est possible en reproduisant à l’identique les phéromones des insectes et en les dispersant de façon homogène et importante sur la parcelle agricole concernée. Tout dernièrement, il a été montré que l’hémoglobine de l’arénicole peut transporter 150 molécules d’02, contre 4 molécules d’02 pour l’hémoglobine humaine. Ce petit ver marin a permis à la société Hemaria d’innover en utilisant ces molécules pour une meilleure conservation des greffons mais également pour augmenter la vitesse de cicatrisation de blessures ou encore réoxygéner le cerveau en cas d’AVC. Ces découvertes ont été brevetées. Il existe bien d’autres innovations biomimétiques à découvrir tant la biodiversité est vaste et diversifiée.  Plusieurs exemples sont cités dans le défi nature « les animaux ingénieux ». 

Le biomimétisme prend-il plus de place chaque année ?

Le biomimétisme gagne du terrain chaque année auprès d’un grand nombre d’acteurs de la recherche et d’acteurs économiques, mais il est loin d’être à son plein essor. Contrairement, à nos pays voisins comme l’Allemagne et la Suisse, qui ont fait du biomimétisme une véritable stratégie de développement économique pour faire face aux enjeux d’aujourd’hui et de demain, notamment au travers de la création d’institut dédié, la France n’a pas franchi ce cap. Le CEEBIOS (Centre Européen d’Excellence sur le Biomimétisme à Senlis) anime un réseau d’acteurs important sur le biomimétisme et déploie une énergie incroyable pour introduire le biomimétisme dans les formations d’enseignement supérieures, tout en accompagnant les territoires à intégrer le biomiméstime dans leur stratégie. Il développe également un grand nombre d’outils pour l’accompagnement des acteurs économiques (exemple de la plate-forme BIOMIG). Bien que les moyens qui lui sont alloués ne sont pas à la hauteur des enjeux, le CEEBIOS continue d’embarquer un maximum d’acteurs (économiques, recherche et territoires) dans la voie du biomimétisme.

Quelle est, parmi les espèces qui ont inspiré une invention biomimétique, votre préférée. Pourquoi ?

Le papillon morpho est de loin l’espèce qui me fascine le plus. En effet, le papillon morpho a la capacité de s’autoréguler quand les températures sont très élevées (>40°C). Elle doit cette stratégie d’adaptation à la production de chitine qui lui confère cette capacité de thermorégulation ainsi que ses écailles. Lorsqu’il a besoin de se refroidir dans les températures supérieures à 40°C, les ailes émettent des rayonnements dans l’infra-rouge ; lorsqu’il revient dans des températures qu’il supporte mieux, ses ailes redeviennent absorbantes et la température de son corps remonte. Les caractéristiques du papillon morpho pourront aider à relever le défi des panneaux solaires thermiques et photovoltaïques qui résistent mal à la chaleur et dont la production d’énergie peut être altérée. 

VIDÉO

Qui se cache derrière le plus grand félin sauvage du monde ? Partons ensemble à la découverte du tigre, l’animal de tous les records !

AROUND THE WORLD

Visite d’un village d’une des tribus des premières nations du Canada

Lors de notre séjour au Québec, dans la vallée du Saint-Laurent, nous avons visité le site de Wendake, en particulier le Musée des Premières Nations et un village reconstitué de la tribu des Hurons-Wendats.

Les Hurons-Wendats sont des amérindiens qui vivent depuis des siècles au Québec ; ils étaient l’une des Sept Nations du Canada. Aujourd’hui ils sont très peu nombreux et vivent surtout dans la petite ville Wendake où ils font découvrir leur culture, et le mode de vie de leurs ancêtres. A Wendake, on avait l’impression de faire un vrai voyage dans le temps, en remontant au 17e siècle! C’est surtout la maison traditionnelle grandeur nature, qu’on appelle la « maison longue Ekionkiestha », qui nous a impressionnés !

C’est dans ce type de maison que vivaient les Hurons avant les premiers contacts avec les colons français et britanniques. Elle est très particulière, construite en une seule pièce toute en longueur ; plus la famille était nombreuse et plus la maison était longue… parfois jusqu’à presque 100 mètres ! La maison était fabriquée avec du bois de cèdre, parce que ce bois repoussait les moustiques et était facile à utiliser ; les Hurons fabriquaient aussi des cordes à base d’écorces d’arbre. La maison était chauffée grâce à plusieurs foyers, creusés au milieu de la maison et répartis sur toute la longueur. Les Hurons dormaient sur des lits superposés alignés le long des murs. Des aliments secs et les objets étaient stockés au-dessus des lits. La nourriture qui avait besoin d’être conservée au frais était stockée dans des sortes de « réfrigérateurs » naturels creusés dans le sol.

Toutes les familles d’un même village avaient en général une grand-mère ou une arrière-grand-mère en commun, qui dirigeait la vie du village. Après le mariage, l’homme emménageait dans la maison de la famille de son épouse.

 
Pour se nourrir, les Hurons cultivaient le maïs, la courge et le haricot, et pêchaient dans les rivières et lacs environnants. Ils construisaient leurs maisons et restaient sur place une dizaine d’années, tant que la terre était fertile et qu’ils trouvaient suffisamment de bois pour se chauffer. Les Hurons vivaient aussi des fourrures qu’ils échangeaient contre des produits apportés par les colons.

 
La maison que nous avons visitée est entourée par d’énormes palissades taillées en pointe, qui protègent le village et les familles des attaques extérieures. Les Hurons ont été persécutés par leurs ennemis, les Iroquois, et ils ont aussi été tués par les épidémies que les Européens ont propagées sur ces territoires indiens…

Découvre Wikoti, le jeu coopératif qui va faire danser toute la famille.

À partir de 5 ans.

* Jeu non disponible au Canada.

L'ACTIVITÉ MANUELLE

Faire une grenouille en origami

Nous te proposons de donner une seconde vie à tes brouillons en les transformant en animal. En suivant les 14 étapes de pliages ci-dessous, tu obtiendras une grenouille sauteuse.

A vos marques, prêts, pliez !

  • Étape 1 :

    Pour réaliser la grenouille, il est nécessaire que la feuille soit carrée. Plie-la horizontalement, verticalement, et en diagonale.

  • Étape 2 :

    Plie la feuille en 2 puis replie les coins du bas vers le milieu.

  • Étape 3 :

    Déplie le triangle. Tu obtiens un rectangle avec 2 plis en forme de croix.

  • Étape 4 :

    Rabats maintenant chaque côté vers le milieu.

  • Étape 5 :

    Déplie la feuille. Tu obtiens un rectangle avec 3 plis de chaque côté.

  • Étape 6 :

    Forme un pli creux en forme de triangle de chaque côté en pliant comme sur la photo.

  • Étape 7 :

    Répète l’opération de l’autre côté, de façon à obtenir un losange.

  • Étape 8 :

    Pour les pattes de la grenouille : Plie les coins vers le sommet de chaque triangle.

  • Étape 9 :

    Une fois les coins rabattus, replie-les sur eux-mêmes.

  • Étape 10 :

    Pour créer le corps de la grenouille : retourne-la et plie chaque côté vers le milieu.

  • Étape 11 :

    Pour former le dos de la grenouille, plie la pointe vers l'intérieur et rabats les deux côtés à l'intérieur pour que ça tienne.

  • Étape 12 :

    Pour permettre à la grenouille de sauter, plie la grenouille sur elle-même.

  • Étape 13 :

    Plie dans l'autre sens le bas du dos pour former les pattes de la grenouille sauteuse.

  • Étape 14 :

    Pour la rendre encore plus rigolote, tu peux lui dessiner des yeux et des narines et la décorer.

Tu as terminé ! Appuie sur le bas de la grenouille pour la faire sauter.

Tu peux maintenant faire des courses avec tes amis !

LA VEILLE DES BONNES NOUVELLES

Grâce à un programme de conservation, la population de kakapos, les perroquets les plus lourds du monde, a augmenté de 25% l’année dernière. Ils sont désormais 252 individus, le niveau le plus élevé depuis les années 1970.

Pour la première fois depuis 36 ans, le corail est en nette croissance dans certaines parties de la Grande Barrière de Corail. La hausse de la température des eaux, causée par le réchauffement climatique entraîne le blanchiment des coraux qui finissent par mourir.

Des iguanes disparus il y a un siècle se reproduisent à nouveau sur l’île de Santiago dans l’archipel des Galapagos, en Equateur. En 2019, l’autorité du Parc national des Galapagos avait réintroduit plus de 3 000 iguanes provenant d’une île voisine dans le but de restaurer l’écosystème naturel de Santiago.

LE FOND D'ÉCRAN À TÉLÉCHARGER

Pour ce numéro spécial Animaux inspirants, nous avons décidé de t’offrir cette magnifique photo d’un requin des Galapagos. Sa peau recouverte d’écailles minuscules en forme de diamants a inspiré une société pour fabriquer des surfaces antibactériennes. Plus besoin d’utiliser des produits nettoyants qui polluent !

© Tobias Bernhard Raff / Biosphoto

LE JEU-CONCOURS

Illustre une expression française qui contient un animal comme par exemple « Prendre le taureau par les cornes ». Pour cela tu peux dessiner, faire un collage ou encore faire une photographie dans laquelle tu te mets en scène.

Pour participer :

Envoie-nous la photo de ta création avant le 25 novembre 2023 par mail : marketing@bioviva.com

Les gagnants seront annoncés dans le prochain webzine.
Jeu-concours réservé aux membres du Club Défis Nature (prise en compte des inscriptions effectuées jusqu’au 25/11/2023). Règlement du jeu concours disponible sur demande.

Retrouve les meilleurs dessins du jeu-concours Animal hybride

L’équipe de Bioviva a choisi les dix gagnants du jeu-concours « Animal hybride » du magazine du Club Défis Nature #8. Bravo à eux et à toutes les personnes qui ont participé !

L’accès à cette partie est réservé aux membres du Club.

L’accès à cette partie est réservé aux membres du Club. 

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Wahou !

 Tu as trouvé la carte ultra rare du rhinocéros noir de l’Est ! Tu vas recevoir très bientôt ton certificat de Super Protecteur.

Pour cela, envoie-nous vite une photo de toi avec ta carte par mail à marketing@bioviva.com !

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